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Du fond du coeur, aimes.

Matthale

Webmaster
Membre du personnel
#1
J’aime, tu aimes, il aime, nous aimons, vous aimez, ils aiment.

Je t’aime, tu t’aimes, il t’aime, nous t’aimons, et ça se sème.

Sur toutes les scènes, partout le long de la seine, on s’aime.

L’antonyme de la haine, quand tu aimes, on t’aime, le harem.

C’est Salem, je m’aimes, aimes toi, aimons nous, quand même.

Si ce n’est que poème, l’amour s’aime, pas de haine, en ce verbe.

Notre arène, pour les reines, pas de gènes, pas de gaine si on aime.

Donnons nous la peine, je t’aimerais, tu aimeras, et lances ta gerbe.

De fleurs, pensées, violettes, pâquerettes, chacune disant : je t’aime.

Arôme, pervenche, vanille, cannelle, conjuguent tous les théorèmes.

Désiré, j’aurais aimé, que tu t’aimes, tu aurais aimé, dans ce thème.

Être aimé, par l’être aimé, que tu aimes, et qui s’aime, sans problème.

Alors aimes, comme tu l’aimes, sans fard, aimes ces rimes qu’on aime.

Cacao, chocolat, café, à Macao, Panama, Calais, aime, aimons, j’aime.

Entourons le verbe aimer, de notre amour, tous les jours, aime Carême.

Même Aimée à besoin d’être aimé, nos mamies, nos mamans, la crème.

Des premiers émois, d’enfant aimé, par tant d’amour, jamais deuxième.

Les mères aiment au premier degrés, et nos pères, lys de chrysanthèmes.

Hors du temps, du décorum, comme une perle, dans leurs ombres même.

Soyons honnête, quand on aime, on le comprend, l’amour est un diadème.